Nantilus
Observance des patients sous antivitamines K : connaissance des patients et gestion de leur traitement états des lieux en Guadeloupe notion d observance thérapeutique
Un pour cent de la population bénéficie d'un traitement anticoagulant. Les anticoagulants sont responsables de 18000 hospitalisations par an, les accidents hémorragiques étant les motifs les plus fréquents. il s'agit là d'un véritable problème de santé publique, étant donné le caractè...
Enregistré dans:
| Auteurs principaux : | , |
|---|---|
| Collectivité auteur : | |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Observance des patients sous antivitamines K : connaissance des patients et gestion de leur traitement : états des lieux en Guadeloupe : notion d observance thérapeutique / Alice Girard-Collignon; sous la direction de Patrick Le Vaillant |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2009 |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
|
| Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2009 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduction de:
Observance des patients sous antivitamines K |
| Résumé : | Un pour cent de la population bénéficie d'un traitement anticoagulant. Les anticoagulants sont responsables de 18000 hospitalisations par an, les accidents hémorragiques étant les motifs les plus fréquents. il s'agit là d'un véritable problème de santé publique, étant donné le caractère indispensable de ces médicaments dans certaines pathologies et la fréquence de sa prescription. Une bonne observance médicamenteuse est indispensable pour réduire le nombre d'accidents iatrogènes. La connaissance et la compréhension du traitement par le patient et sa capacité à le gérer sont des facteurs indispensables à une bonne observance. C'est à l'aide d'un questionnaire simple et adapté aux patients, relatif aux connaissances et à la gestion de leur traitement, que j ai tenté d'évaluer les facteurs favorisant la mauvaise observance thérapeutique. Ce questionnaire a été distribué dans des cabinets de médecine de ville ou à l hôpital, sur la Guadeloupe. Il était distribué aux patients sous AVK qui le remplissaient seul et le remettaient par la suite de manière anonyme dans une urne. Soixante-deux patients ont répondu à cette étude, permettant de souligner des lacunes dans la connaissance et la gestion du traitement et d'évoquer des causes à celles-ci. Des recommandations officielles récentes existent pour accompagner les patients et les aider à gérer leur traitement, montrant bien que ce problème est loin d'être résolu, mais que des solutions se présentent pour réduire le risque iatrogène des anticoagulants oraux : outils d'aide à l'observance, éducation thérapeutique, recherche sur de nouveaux médicaments... |
|---|---|
| Bibliographie : | Bibliogr. |