Proposition de bilan de lecture labiale pour les personnes de plus de soixante ans devenues sourdes ou malentendantes

Les troubles de l'intelligibilité liés aux surdités des personnes de plus de soixante ans ne sont pas encore suffisamment pris en charge par les professionnels de la surdité. La lecture labiale semble pourtant représenter une aide à la communication en complément des appareils auditifs. Nous pr...

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Auteur principal : Vial Lledos Émilie (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Guibert Jacqueline (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Proposition de bilan de lecture labiale pour les personnes de plus de soixante ans devenues sourdes ou malentendantes / Émilie Vial Lledos; sous la direction de Jacqueline Guibert
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2009
Description matérielle : 1 vol. (125 f.)
Note de thèse : Mémoire d'orthophonie : Médecine : Nantes : 2009
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Proposition de bilan de lecture labiale pour les personnes de plus de soixante ans devenues sourdes ou malentendantes
Description
Résumé : Les troubles de l'intelligibilité liés aux surdités des personnes de plus de soixante ans ne sont pas encore suffisamment pris en charge par les professionnels de la surdité. La lecture labiale semble pourtant représenter une aide à la communication en complément des appareils auditifs. Nous proposons donc un bilan testant l'aspect analytique et global de la lecture labiale ainsi que la suppléance mentale, chez quarante entendants et vingt malentendants (avec ou sans apprentissage de lecture labiale). Il ressort principalement de cette étude que les malentendants en apprentissage de la lecture labiale ont présenté de meilleurs résultats que les entendants et les malentendants sans apprentissage de lecture labiale. Il faut rappeler qu aucun d entre eux ne présentait de troubles cognitifs pouvant entraver les capacités de lecture labiale. Ces résultats nous permettent de dire qu'il n'est pas vain d'apprendre la lecture labiale après soixante ans.
Bibliographie : Bibliogr. f. 102-110