Rupture prématurée des membranes avant 28 semaines d'aménorrhée : critères prédictifs de chorioamniotite et d'infection néonatale

L'objectif de cette étude était de mettre en évidence le meilleur marqueur d'une chorioamniotite et d'une infection néonatale chez les femmes qui présentaient une rupture prématurée des membranes avant 28 semaines d'aménorrhée. Nous avons réalisé une étude rétrospective sur 95 pa...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Lethu-Davoz Clémence (Auteur)
Collectivités auteurs : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance), Ecole de sages-femmes Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Boog Georges (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Rupture prématurée des membranes avant 28 semaines d'aménorrhée : critères prédictifs de chorioamniotite et d'infection néonatale / Clémence Lethu-Davoz; sous la direction de Georges Boog
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2008
Description matérielle : 1 vol. (37-[15] f)
Note de thèse : Mémoire de sage-femme : Médecine : Nantes : 2008
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Rupture prématurée des membranes avant 28 semaines d'aménorrhée
Description
Résumé : L'objectif de cette étude était de mettre en évidence le meilleur marqueur d'une chorioamniotite et d'une infection néonatale chez les femmes qui présentaient une rupture prématurée des membranes avant 28 semaines d'aménorrhée. Nous avons réalisé une étude rétrospective sur 95 patientes présentant une RPM entre 16 et 28 SA. Nous avons ainsi comparé les différents critères de surveillance de ces patientes en incluant l analyse informatisée du rythme cardiaque fœtal par le système Oxford. Les critères de surveillance apparaissent très liés entre eux et dépendent notamment de la durée de la phase de latence et du terme de l accouchement. Ils ne nous permettent pas de conclure sur leur prédictivité en matière de chorioamniotite. Par ailleurs, la présence de germes au prélèvement vaginal réalisé à la RPM placerait la patiente dans un groupe à risque d'infection néonatale. Le marqueur idéal de chorioamniotite et d'infection néonatale reste à découvrir. De nouveaux marqueurs comme les cytokines apportent de nouvelles perspectives à ce dilemme obstétrical.
Bibliographie : Bibliogr. [2] f. [22 réf.]