Les couronnes à rétention radiculaire ou camérale
Dès le 18ème siècle, l'idée d'utiliser la racine comme ancrage, pour remplacer une dent délabrée ou absente, est apparue. Les systèmes vont connaître de nombreuses évolutions, pour aboutir à la couronne monobloc de type Richmond. Celle-ci est encore d'actualité mais d'indication...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Les couronnes à rétention radiculaire ou camérale / Edouard Durant de La Pastellière; sous la direction de M. le Docteur Yves Amouriq |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2008 |
Description matérielle : | 1 vol. (93-[9] f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008 |
Disponibilité : | Publication autorisée par le jury |
Sujets : |
Résumé : | Dès le 18ème siècle, l'idée d'utiliser la racine comme ancrage, pour remplacer une dent délabrée ou absente, est apparue. Les systèmes vont connaître de nombreuses évolutions, pour aboutir à la couronne monobloc de type Richmond. Celle-ci est encore d'actualité mais d'indication plus limitée. A partir des années quatre vingt, grâce à l'volution des matériaux, tel que les composites de laboratoire mais aussi des céramiques, les couronnes à rétention camérale se développent en pratique courante. Le mode d assemblage par collage potentialise la rétention et évite l utilisation d un ancrage radiculaire scellé. Cette technique permet une économie tissulaire mais aussi un gain de temps et de moyens. Les indications, les différentes étapes du protocole sont détaillées, le résultat illustré par un cas clinique. |
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Bibliographie : | Bibliogr. [7] f. [68 réf.] |