Conseil minimal de sevrage tabagique par le médecin généraliste : point de vue de 406 personnes du pays d'Ancenis

OBJECTIF. Etudier la relation médecin-patient à propos du tabac, par l'étude de la diffusion du conseil minimal dans le public. METHODE. 406 personnes suivies par un médecin généraliste ont rempli un questionnaire dans deux lieux publics du pays d Ancenis (collège, sous préfecture) en octobre 2...

Description complète

Enregistré dans:
Détails bibliographiques
Auteur principal : Guilbaud Gaëlle (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Ghiringhelli Marc (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Conseil minimal de sevrage tabagique par le médecin généraliste : point de vue de 406 personnes du pays d'Ancenis / Gaëlle Guilbaud; sous la direction de Marc Ghiringhelli
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2007
Description matérielle : 1 vol. (60 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2007
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Conseil minimal de sevrage tabagique par le médecin généraliste
Description
Résumé : OBJECTIF. Etudier la relation médecin-patient à propos du tabac, par l'étude de la diffusion du conseil minimal dans le public. METHODE. 406 personnes suivies par un médecin généraliste ont rempli un questionnaire dans deux lieux publics du pays d Ancenis (collège, sous préfecture) en octobre 2006. RESULTATS. 65% des personnes interrogées à la sous préfecture et 20% des collégiens ont été interrogés sur leur statut tabagique. 27% des personnes de la sous préfecture et 7% des collégiens déclarant avoir fumé au moins une cigarette ont entendu le conseil minimal. Suite au conseil minimal, 69% des personnes interrogées à la sous préfecture ont reçu un conseil, 18% un traitement, 8.5% une brochure, 5.5% l adresse d un centre de sevrage. Seuls 21% des fumeurs et anciens fumeurs des 2 groupes citent le médecin généraliste comme une aide dans le sevrage. Les informations données par le médecin généraliste sont plutôt jugées suffisantes et instructives .pour les personnes de la sous préfecture, pas assez fréquentes et incomplètes pour les collégiens. DISCUSSION. La perception du conseil minimal est faible dans la population étudiée. Des actions sont nécessaires pour améliorer le partenariat médecin-patient dans le sevrage tabagique.
Bibliographie : Bibliogr. f. 57-59 [42 réf.]