Personnes âgées en fibrillation auriculaire et à risque de chute : étude rétrospective à propos de 115 cas

La décision d instituer une anticoagulation orale est fréquente en gériatrie du fait de la grande prévalence de la fibrillation auriculaire chez le sujet âgé. Mais le bénéfice des AVK est à confronter au risque accru de complications hémorragiques dans cette population. Notre travail porte sur la fr...

Description complète

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Meyer Manigold Véronique (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Le Strat Anne (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Personnes âgées en fibrillation auriculaire et à risque de chute : étude rétrospective à propos de 115 cas / Véronique Meyer Manigold; sous la direction de Anne Le Strat
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2007
Description matérielle : 1 vol. (116 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2007
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Personnes âgées en fibrillation auriculaire et à risque de chute
Description
Résumé : La décision d instituer une anticoagulation orale est fréquente en gériatrie du fait de la grande prévalence de la fibrillation auriculaire chez le sujet âgé. Mais le bénéfice des AVK est à confronter au risque accru de complications hémorragiques dans cette population. Notre travail porte sur la fréquence de prescription des AVK dans une population de 115 patients hospitalisés, âgés de 75 ans et plus, en fibrillation auriculaire et chuteurs. Cette fréquence est de 28% dans notre cohorte et le facteur qui semble le plus fréquemment associé à la prescription des AVK est un antécédent d AVC ischémique (38%). Nous avons cependant une proportion importante de complications hémorragiques liées aux AVK (28%). La décision thérapeutique est motivée dans la moitié des dossiers. La cause de chute corrigée justifie la prescription des AVK dans 90% des cas et à l inverse, un risque de chute persistant est l argument dans 85% des non prescriptions justifiées.
Bibliographie : Bibliogr. f. 103-112 [139 réf.]