La cicatrice chéloïde : étude rétrospective sur 15 ans indications thérapeutiques

La prise en charge d'un patient présentant des cicatrices chéloïdes reste extrêmement difficile et frustrante devant l'obtention de résultats souvent imparfaits. Nombre de praticiens, qu'ils soient chirurgiens ou médecins peuvent être amenés à suivre des patients souffrant de ce mode...

Description complète

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Martinet Laurent (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Pannier Michel (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : La cicatrice chéloïde : étude rétrospective sur 15 ans : indications thérapeutiques / Laurent Martinet; sous la direction de Michel Pannier
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2007
Description matérielle : 1 vol. (97 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Chirurgie : Nantes : 2007
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: La cicatrice chéloïde
Description
Résumé : La prise en charge d'un patient présentant des cicatrices chéloïdes reste extrêmement difficile et frustrante devant l'obtention de résultats souvent imparfaits. Nombre de praticiens, qu'ils soient chirurgiens ou médecins peuvent être amenés à suivre des patients souffrant de ce mode de cicatrisation pathologique. Dans ce travail rétrospectif, nous avons réalisé une revue de la littérature, et étudié les dossiers des patients pris en charge dans notre service pour des cicatrices chéloïdes sur une période de 15 ans. Notre expérience nous a amené à mettre au point un protocole thérapeutique comprenant dans un premier temps des injections de corticoïdes, puis secondairement une chirurgie de réduction de la cicatrice avec des limites d exérèse intracicatricielles. Dans un dernier temps, et en cas d échec des mesures précédentes, nous avons eu recours à une irradiation par de la curiethérapie pour environ 15% de nos patients. Ce protocole, nous donnant des résultats satisfaisants, restera à confronter aux évolutions thérapeutiques grâce notamment à une meilleur compréhension de la physiologie cutanée et de la physiopathologie de ce mode de cicatrisation.
Bibliographie : Bibliogr. f. 91-96 [75 réf.]