Etude de la torsion oculaire chez le sujet normal, paralysie du IV et signes cliniques

La justesse de notre diagnostic, et donc la qualité de la prise en charge thérapeutique, dépend de la pertinence de l'interprétation des signes cliniques étudiés. La torsion oculaire est un élément important dans la pathologie oculomotrice, mais contrairement aux mouvements oculaires verticaux...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Lefèvre François (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Péchereau Alain (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Etude de la torsion oculaire chez le sujet normal, paralysie du IV et signes cliniques / François Lefèvre; sous la direction de Alain Péchereau
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2006
Description matérielle : 1 vol. (76 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Ophtalmologie : Université de Nantes : 2006
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Etude de la torsion oculaire chez le sujet normal, paralysie du IV et signes cliniques
Description
Résumé : La justesse de notre diagnostic, et donc la qualité de la prise en charge thérapeutique, dépend de la pertinence de l'interprétation des signes cliniques étudiés. La torsion oculaire est un élément important dans la pathologie oculomotrice, mais contrairement aux mouvements oculaires verticaux ou horizontaux, son évaluation en pratique courante reste délicate. Dans la première partie de ce travail, nous avons déterminé la norme de la torsion oculaire chez le sujet sain. Cette torsion a été mesurée objectivement sur les rétinophotographies de 150 patients (trois groupes d'âges). Dans la seconde partie, nous avons évalué la pertinence de cet élément clinique pour porter le diagnostic de paralysie oculomotrice congénitale du IV (38 patients). Nous avons par ailleurs étudié la sensibilité de nombreux autres signes cliniques parfois utilisés pour porter ce diagnostic (examen clinique oculomoteur et signe de Bielschowsky ; IRM des muscles oculomoteurs ; test de Guyton 1). L'ensemble de cette analyse apporte quelques éléments cliniques dont l'interprétation prudente peut étayer certaines hypothèses physiopathologiques que nous avons discutées.
Bibliographie : Bibliogr. f. 73-76 [46 réf.]