Les sinusites maxillaires aspergillaires odontogènes

L'origine dentaire des sinusites maxillaires aspergillaires fut découverte au début du 20ème siècle par un Nantais, le docteur Texier. Cette pathologie correspond à une prolifération d'aspergillus, champignon opportuniste chez l'homme, au sein du sinus maxillaire, suite à une modifica...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Guesdon Gaël (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Lagarde André (Directeur de thèse), Segura Serge (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Les sinusites maxillaires aspergillaires odontogènes / Gaël Guesdon; sous la direction de Monsieur le Docteur A. Lagarde, Monsieur le Docteur S. Segura
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2006
Description matérielle : 1 vol. (117 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Université de Nantes : 2006
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Les sinusites maxillaires aspergillaires odontogènes
Description
Résumé : L'origine dentaire des sinusites maxillaires aspergillaires fut découverte au début du 20ème siècle par un Nantais, le docteur Texier. Cette pathologie correspond à une prolifération d'aspergillus, champignon opportuniste chez l'homme, au sein du sinus maxillaire, suite à une modification du complexe anatomo-physiologique. Cette altération du milieu sinusien peut être d'origine dentaire ou, dans la plupart des cas, iatrogène, donc para dentaire, suite à des soins endodontiques ou chirurgicaux. Elle évolue sur un mode chronique, sans envahissement tissulaire, ce qui explique sa découverte essentiellement fortuite. Pouvant être diagnostiquée par un chirurgien dentiste et/ou un oto-rhino-laryngologiste, le traitement de cette maladie nécessitera une collaboration étroite entre les deux praticiens, faisant intervenir obligatoirement une phase chirurgicale afin d'éliminer la masse mycélienne.
Bibliographie : Bibliogr. f. 108-117 [78 réf.]