Recherche de nouvelles bases moléculaires responsables de l'acrodermatite entéropathique

L'acrodermatite entéropathique (AE) est un syndrome héréditaire rare, transmis de manière autosomique récessive, dont la cause est une malabsorption intestinale du zinc. En 2002, des anomalies moléculaires observées dans le gène transporteur de zinc hSLC39A4 ont permis d'associer ce gène à...

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Auteur principal : Schmitt Sébastien (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Bézieau Stéphane (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Recherche de nouvelles bases moléculaires responsables de l'acrodermatite entéropathique / Sébastien Schmitt; sous la direction de Stéphane Bezieau
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2005
Description matérielle : 1 vol. (96 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Biologie médicale : Université de Nantes : 2005
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Recherche de nouvelles bases moléculaires responsables de l'acrodermatite entéropathique
Description
Résumé : L'acrodermatite entéropathique (AE) est un syndrome héréditaire rare, transmis de manière autosomique récessive, dont la cause est une malabsorption intestinale du zinc. En 2002, des anomalies moléculaires observées dans le gène transporteur de zinc hSLC39A4 ont permis d'associer ce gène à cette pathologie. Malgré tout, pour certains patients présentant un authentique syndrome clinique d'AE, nous ne retrouvons pas de mutations homozygotes ou hétérozygotes composites après séquençage du gène hSLC39A4. Nous nous sommes fixé comme objectif de mettre en évidence un autre mécanisme moléculaire pouvant expliquer leurs pathologies. Nous avons donc mis au point une technique de PCR semi-quantitative (QMPSF) permettant la mise en évidence d'éventuels grands réarrangements du gène hSLC39A4. En parallèle, nous avons examiné plusieurs gènes potentiellement impliqués dans la pathogénie du syndrome, par le biais d'analyses mutationnelles réalisées chez les patients sélectionnés.
Bibliographie : Bibliogr. f. 91-96 [82 réf.]