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La prise en charge du travail et de l'accouchement chez la nullipare à bas risque : comparaison d'une maternité de niveau 1 et d'une maternité de niveau 3 dans la région Pays-de-la-Loire
Etude: Nous avons réalisé une étude rétrospective au sein de deux maternités de la Région Pays-de-la-Loire (niveau 1 et niveau 3) sur les années 2002 et 2003 afin de comparer les pratiques obstétricales concernant 400 nullipares à bas risque. Résultats : Les différences de pratiques principales conc...
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| Collectivités auteurs : | , |
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | La prise en charge du travail et de l'accouchement chez la nullipare à bas risque : comparaison d'une maternité de niveau 1 et d'une maternité de niveau 3 dans la région Pays-de-la-Loire / Emilyne Robin; sous la direction de Franklin Joulie |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2005 |
| Description matérielle : | 1 vol. (73 f.) |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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| Note de thèse : | Mémoire : Sages-Femmes : Université de Nantes : 2005 |
| Disponibilité : | Publication autorisée par le jury |
| Sujets : |
| Résumé : | Etude: Nous avons réalisé une étude rétrospective au sein de deux maternités de la Région Pays-de-la-Loire (niveau 1 et niveau 3) sur les années 2002 et 2003 afin de comparer les pratiques obstétricales concernant 400 nullipares à bas risque. Résultats : Les différences de pratiques principales concernent : le taux d'analgésies péridurales (86,2% en niveau 3 contre 75,0% en niveau 1), le taux d'épisiotomies (68,6% en niveau 3 contre 58,5% en niveau 1), le délai d'expectative après une rupture prématurée des membranes supérieure à 12 heures (12h54 en niveau 3 contre 25h54 en niveau 1), la durée passée en salle d'expectante (4h14 en niveau 3 contre 7h36 en niveau 1), la fréquence des amniotomies précoces (56,7% contre 38,4% pour respectivement les niveaux 3 et 1) ainsi que la fréquence, la vitesse de perfusion et l'utilisation plus ou moins tardive de l'ocytocine. En niveau 1, la durée de la phase active est plus courte, ainsi que la durée passée à dilatation complète. En revanche, il n'y a de différences ni sur les taux de césariennes et d'extractions instrumentales ni sur les morbidités maternelle et néonatale. Conclusion : L'attitude de la maternité de niveau 1 paraît moins interventionniste. Même si les différences de pratiques observées n'entraînent pas de conséquences, aussi bien sur le mode d'accouchement que sur les morbidités maternelle et néonatale, elles modifient en particulier les différents temps du travail. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 61-67 [39 réf.] |