Utilisation des cellules souches médullaires dans une thérapie cellulaire du diabète : Absence de transdifférenciation en cellules productrices d'insuline dans un modèle murin de diabète induit par la streptozotocine

Un des défis majeurs de la recherche sur le traitement du diabète de type I porte sur l'identification de cellules souches capables de se différencier en cellules bêta insulino-sécrétrices. II a été suggéré que les cellules de la moelle osseuse étaient capables de se différencier en cellules di...

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Auteur principal : Lavazais Emmanuelle (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes Faculté des sciences et des techniques (Autre partenaire associé à la thèse), École doctorale sciences et technologies de l'information et des matériaux Nantes (Organisme de soutenance), Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Martignat Lionel (Directeur de thèse), Sai Pierre (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Utilisation des cellules souches médullaires dans une thérapie cellulaire du diabète : Absence de transdifférenciation en cellules productrices d'insuline dans un modèle murin de diabète induit par la streptozotocine / Emmanuelle Lavazais; sous la direction de Lionel Martignat; Co-directeur de thèse Pierre Sai
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2005
Description matérielle : 1 vol. (307 p.)
Note de thèse : Thèse doctorat : Aspects moléculaires et cellulaires de la biologie : Université de Nantes : 2005
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Description
Résumé : Un des défis majeurs de la recherche sur le traitement du diabète de type I porte sur l'identification de cellules souches capables de se différencier en cellules bêta insulino-sécrétrices. II a été suggéré que les cellules de la moelle osseuse étaient capables de se différencier en cellules différentes de leur tissu d'origine (" transdifférenciation "). Nous avons donc formulé l'hypothèse qu'elles pourraient également constituer une source de cellules bêta. Notre objectif a consisté à déterminer, dans différents modèles d'étude murins complémentaires, si les cellules médullaires pouvaient se différencier en cellules productrices d'insuline, et si elles pouvaient avoir un effet thérapeutique sur un diabète chimiquement induit. Nos résultats montrent que ces cellules ne peuvent pas se différencier spontanément in vivo en cellules productrices d'insuline. Néanmoins, elles pourraient avoir un effet bénéfique sur les cellules bêta en se différenciant en cellules endothéliales.
Bibliographie : Bibliogr. p. 255-307