La pharmacopée des navires négriers nantais au 18ème siècle
A partir du XVème siècle, suite à la découverte du Nouveau Monde et jusqu'au XIXème siècle, de nombreux ports européens, à l'instar de Nantes, ont pratiqué la traite de noirs. Ce commerce de bois d'ébène était une entreprise complexe qui demandait de nombreux investissements : financi...
Auteurs principaux : | , |
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Collectivité auteur : | |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | La pharmacopée des navires négriers nantais au 18ème siècle / Béatrice Jeanneau; sous la dir. de Yannick Romieux |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2003 |
Description matérielle : | 2 vol. (466 f.) |
Condition d'utilisation et de reproduction : | Publication autorisée par le jury |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Pharmacie : Université de Nantes : 2003 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
La pharmacopée des navires négriers nantais au 18ème siècle |
Résumé : | A partir du XVème siècle, suite à la découverte du Nouveau Monde et jusqu'au XIXème siècle, de nombreux ports européens, à l'instar de Nantes, ont pratiqué la traite de noirs. Ce commerce de bois d'ébène était une entreprise complexe qui demandait de nombreux investissements : financier, matériel et humain. Parmi ces hommes, le chirurgien navigant tenait une part essentielle. Il était responsable de l'hygiène et de la santé de tous les occupants du navire négrier. Pour exercer son art, outre sa formation et son expérience, il disposait d'un coffre de mer réparti en trois lots. Le premier correspondait au coffre de médicaments et contenait de nombreuses drogues issues du règne végétal, animal ou minéral. Le second comprenait les instruments de chirurgie et permettait de pratiquer les principales interventions. Enfin, le dernier regroupait tous les accessoires médico-pharmaceutiques dont le chirurgien pouvait avoir besoin. |
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Bibliographie : | Bibliogr. f. 455-460 [66 réf.] |