NantilusHypnose et kinésithérapie : l'hypnose et la communication thérapeutiques, un outil pertinent pour soutenir la rééducation à la marche des patients âgés et chuteurs porteurs de troubles cognitifs ?
La chute du patient âgé est un réel problème de santé publique. La rééducation à la marche pour syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) qui en découle, a donc toute son importance en gériatrie. Etant une véritable médecine pluridisciplinaire, le patient âgé rencontre plusieurs acteurs de sant...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Hypnose et kinésithérapie : l'hypnose et la communication thérapeutiques, un outil pertinent pour soutenir la rééducation à la marche des patients âgés et chuteurs porteurs de troubles cognitifs ? / Émilie Trullemans; sous la direction de Thierry Servillat |
| Publié : |
2021 |
| Description matérielle : | 1 vol. (49 f.) |
| Note de thèse : | Mémoire de DU : Hypnose et communication thérapeutiques : Nantes : 2021 |
| Sujets : |
| Résumé : | La chute du patient âgé est un réel problème de santé publique. La rééducation à la marche pour syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) qui en découle, a donc toute son importance en gériatrie. Etant une véritable médecine pluridisciplinaire, le patient âgé rencontre plusieurs acteurs de santé dans son parcours de soin. En tant que kinésithérapeute, j'ai choisi d'intégrer l'hypnose et la communication thérapeutiques à la rééducation à la marche des patients âgés et chuteurs, porteurs de troubles neurocognitifs associés. J'ai plus précisément cherché à déterminer si ce nouvel outil pouvait être pertinent pour soutenir la prise en charge kinésithérapique de ces patients âgés et fragiles. Ce mémoire décrit ma petite expérience au travers de trois cas cliniques, illustrant de façon concrète, l'utilisation de l'hypnose dans ma pratique quotidienne. L'hypnose étant avant tout relation, j'ai tenté de remettre au cœur des soins, la relation humaine pour réapprendre à tisser du lien, quant au premier abord, les troubles neurocognitifs semblent nous en empêcher. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 42-44, 30 réf. |