Impact de la pandémie de COVID-19 sur l'accès à l'IVG : évaluation des pratiques des professionnels de santé de la Nièvre : étude descriptive

Dans la Nièvre, l'ARS de Bourgogne- Franche -Comté a ciblé une difficulté d'accès à l'IVG liée à une démographie médicale fragile et à l'éloignement géographique des patientes. Dans la nouveauté du contexte de pandémie COVID-19 comment les femmes allaient pouvoir avorter ? Nous a...

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Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Pillet Barrière Agnès (Auteur), Serre Émilie (Encadrant académique)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Université de Nantes Service de formation continue (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Impact de la pandémie de COVID-19 sur l'accès à l'IVG : évaluation des pratiques des professionnels de santé de la Nièvre : étude descriptive / Agnès Pillet Barrière; sous la direction de Émilie Serre
Publié : 2021
Description matérielle : 1 vol. (54 p.)
Note de thèse : Mémoire de DU : Formation complémentaire en médecine préventive en santé des femmes : Nantes : 2021
Sujets :
Description
Résumé : Dans la Nièvre, l'ARS de Bourgogne- Franche -Comté a ciblé une difficulté d'accès à l'IVG liée à une démographie médicale fragile et à l'éloignement géographique des patientes. Dans la nouveauté du contexte de pandémie COVID-19 comment les femmes allaient pouvoir avorter ? Nous avons voulu étudier I' impact de la crise sanitaire sur la prise en charge des IVG sur le territoire du GHT de la Nièvre. Nous avons réalisé un état des lieux des IVG et une évaluation des pratiques professionnelles à l'aide d'un questionnaire en ligne sur notre département. Les résultats ont montré une baisse des avortements réalisés en établissement et centres de santé sur l'année 2020 notamment sur les périodes de confinement. La méthode instrumentale est en régression au profit de la méthode médicamenteuse. Les professionnels de santé impliqués dans l'orthogénie, ont adapté leur pratique aux réponses rapides de la HAS en réalisant des IVG médicamenteuses entre 7 et 9 SA et en utilisant la téléconsultation. Ils sont majoritairement favorables au maintien de ces mesures. L'impact de la crise sanitaire a facilité l'accès à !'IVG mais la méthode médicamenteuse ne doit pas être un choix par défaut. L'accès à la méthode instrumentale doit rester une priorité à maintenir sur notre territoire.
Bibliographie : Bibliogr. p. 36-38, 29 réf.