NantilusAnalyse des contacts occlusaux lors des mouvements mandibulaires.
Les articulations temporomandibulaires possèdent la spécificité de pouvoir exécuter deux types de mouvements élémentaires (rotation et translation) des mouvements fondamentaux (ouverture-fermeture, propulsion-rétropulsion et diduction: association de mouvements élémentaires) et des mouvements foncti...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Analyse des contacts occlusaux lors des mouvements mandibulaires. / Eric Diaz; sous la direction de François Unger |
| Publié : |
2000 |
| Description matérielle : | 1 vol. ( 52 f.) |
| Note de thèse : | Mémoire de Diplôme d'université d'occlusodontologie et de traitements des désordres crânio-mandibulaires. : Occlusion dentaire. : Nantes, : 2000 |
| Sujets : |
| Résumé : | Les articulations temporomandibulaires possèdent la spécificité de pouvoir exécuter deux types de mouvements élémentaires (rotation et translation) des mouvements fondamentaux (ouverture-fermeture, propulsion-rétropulsion et diduction: association de mouvements élémentaires) et des mouvements fonctionnels (mastication, phonation, déglutition, bâillement : combinaison de mouvements fondamentaux). Les mouvements mandibulaires constituent le sujet de nombreux travaux d'étude qui ont donnés naissance au cours de ce siècle, à quelques concepts de l'occlusodontie dont certains font toujours référence aujourd'hui. L'analyse de Lundeen et Gibbs, ayant pour suport le Replicator va constituer un apport historique pour l'observation des déplacements d'un point quelconque de la mandibule pendant la fonction. Les approches fonctionnelles, nous montrent qu'il existe des différences de trajectoires mandibulaires entre les phases de médialisation et de latéralisation, dues à des facteurs anatomiques, qui ne sont pas objectivables avec nos moyens de simulation classiques. Les articulateurs montrent leurs limites et leurs imperfections. Ainsi, l'analyse occlusale sur articulateur , pour être en accord avec ces constatations cliniques, devra passer par leur utilisation plus rationnelle en faisant évoluer le système mécanique qu'il représente. Mais nous, cliniciens, devrons peut-être envisager aussi un protocole d'analyse occlusale tenant compte de ces différences de cinématique. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 48-51 |