État des lieux du réseau et des pratiques du repérage des addictions pendant la grossesse par les professionnels de l’Hôpital Femme Mère-Enfant de Metz et son bassin de naissance : vers la mise en place d’un auto-questionnaire de repérage des consommations de substances psychoactives et des facteurs de vulnérabilité
Le repérage de la consommation de Substances Psycho Actives chez les femmes enceintes doit être systématique pour la prise en charge de ces grossesses à hauts risques. Qu'en est-il sur l'Hôpital Femme Mère Enfant de METZ et son bassin de naissance ? L'étude est basée sur un questionna...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | État des lieux du réseau et des pratiques du repérage des addictions pendant la grossesse par les professionnels de l’Hôpital Femme Mère-Enfant de Metz et son bassin de naissance : vers la mise en place d’un auto-questionnaire de repérage des consommations de substances psychoactives et des facteurs de vulnérabilité / Alexandra Martin; sous la direction de Claude Lejeune |
Publié : |
[Lieu de publication inconnu] :
[éditeur inconnu]
, 2016 |
Description matérielle : | 1 vol. (50 f.) |
Note de thèse : | Mémoire de DIU : Périnatalité et Addictions : Nantes : 2016 |
Sujets : |
Résumé : | Le repérage de la consommation de Substances Psycho Actives chez les femmes enceintes doit être systématique pour la prise en charge de ces grossesses à hauts risques. Qu'en est-il sur l'Hôpital Femme Mère Enfant de METZ et son bassin de naissance ? L'étude est basée sur un questionnaire destiné aux professionnels de santé afin d'évaluer le repérage des conduites addictives pendant la grossesse, le niveau de formation des acteurs de santé et les moyens mis en œuvre par l'utilisation d'outils et l'orientation spécialisée de ces patientes. Le repérage systématique est réalisé de 62% à 84% selon les substances. Moins d'un professionnel sur deux est formé en addictologie. 14,2% des acteurs de santé utilisent des tests de dépistage et d'évaluation de dépendance et 51.9% n'orientent pas systématiquement leurs patientes vers des acteurs ou structures adaptés. II semble .donc que trop souvent, les professionnels de santé s'arrêtent au repérage et à l'information des risques sans guider les patientes vers une réduction des risques en limitant ou stoppant leur consommation grâce à un accompagnement pluridisciplinaire |
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Bibliographie : | Bibliogr. f. 32-33 |