NantilusPersonnel soignant, intimité et sexualité des patients au sein d’une unité MPR de blessés médullaires
L'objectif de ce mémoire, à travers un état des lieux des connaissances, pratiques et attitudes des personnels soignants confrontés au corps handicapé et ses conséquences sexuelles, était d'établir un éventuel intérêt à la mise en place de dispositifs pourvoyant aux besoins et attentes afi...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Personnel soignant, intimité et sexualité des patients au sein d’une unité MPR de blessés médullaires / Florence Aygalenq; sous la direction de Jean-Jacques Labat, Marc Le Fort |
| Publié : |
[Lieu de publication inconnu] :
[éditeur inconnu]
, 2014 |
| Description matérielle : | 1 vol. (42 f.) |
| Note de thèse : | Mémoire de DIU : Étude de la sexualité humaine : Nantes : 2014 |
| Sujets : |
| Résumé : | L'objectif de ce mémoire, à travers un état des lieux des connaissances, pratiques et attitudes des personnels soignants confrontés au corps handicapé et ses conséquences sexuelles, était d'établir un éventuel intérêt à la mise en place de dispositifs pourvoyant aux besoins et attentes afin d'améliorer la prise en charge holistique des blessés médullaires. La méthode utilisée est une étude prospective auprès des personnels soignants exerçant au contact des blessés médullaires dans une unité spécialisée par un questionnaire auto-administré. Les résultats montrent que les connaissances sur les spécificités de la sexualité du blessé médullaire sont mauvaises et que les soignants souhaitent améliorer celles-ci notamment par des formations, considérant volontiers que cet aspect de la qualité de vie doit s'intégrer dans leurs pratiques selon leur formation d'origine. Lors du soin, relation intime entre deux personnes, ces patients tentent de parler de leur vie affective et sexuelle et cette invitation à partager leur intimité est une invitation à repenser la place du soignant, à ne pas esquiver l'essentiel de la vie |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 41-42 |