NantilusChangement(s) de méthode contraceptive chez la femme au cours de sa vie : enquête auprès des femmes
Objectifs : en France, en dépit d'une forte couverture contraceptive, le nombre de grossesses non désirées, reste élevé (environ 1/3 des grossesses) malgré les efforts réalisés en matière de prévention et d'information. Cette enquête a pour but de déterminer à quel(s) moment(s) les femmes...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Changement(s) de méthode contraceptive chez la femme au cours de sa vie : enquête auprès des femmes / Bénédicte Rouarch Duby; sous la direction de Anne Paumier |
| Publié : |
[Lieu de publication inconnu] :
[éditeur inconnu]
, 2015 |
| Description matérielle : | 1 vol. (44 f.) |
| Note de thèse : | Mémoire de DIU : Médecine préventive en santé des femmes : Nantes : 2015 |
| Sujets : |
| Résumé : | Objectifs : en France, en dépit d'une forte couverture contraceptive, le nombre de grossesses non désirées, reste élevé (environ 1/3 des grossesses) malgré les efforts réalisés en matière de prévention et d'information. Cette enquête a pour but de déterminer à quel(s) moment(s) les femmes changent de méthode contraceptive au cours de leur vie et donc nécessitent davantage d'informations sur la contraception afin d'éclairer leur choix. Matériels et méthodes : pour cela, nous avons réalisé une enquête auprès de 246 patientes issues de l'unité de soins Mère-Enfant et des cabinets des gynécologues de la Polyclinique de l'Atlantique, et de cabinets de sages-femmes de l'agglomération nantaise, du 1er janvier au 31 mars 2015. Résultats : la majorité des femmes débutent une contraception entre 16 et 20 ans (75.2%). La première consultation gynécologique de l'adolescente est donc l'occasion de recevoir des informations et des conseils qui influenceront probablement le ou les futurs changements de méthode contraceptive. C'est préférentiellement à l'occasion de la grossesse, du post-partum que les femmes semblent changer de méthode contraceptive (29%), même si la première raison évoquée est la mauvaise tolérance de la méthode (32%). Elles souhaitent une contraception et un suivi personnalisés et adaptés aux différentes étapes et aux différents événements de leur vie. II est donc important d'adapter l'information sur la contraception que nous leur proposons en choisissant ces moments propices aux changements que sont la grossesse, le post-partum, et en leur consacrant, lors des consultations du suivi gynécologique de prévention, le temps nécessaire à leur écoute et aux explications claires et complètes qui guident leur choix |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 33-34 |