NantilusLe traitement substitutif aux opiacées pendant la grossesse : discussion à partir d’un cas clinique
Sur une population estimée en France à 150 000 - 300 000 usagers d'héroïne, un tiers sont des femmes en âge de procréer. Bien que la tératogénicité des opiacés n'ait pas été prouvée, les phases de manque induites par l'héroïne ou les traitements de substitution aux opiacés (TSO) entra...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Le traitement substitutif aux opiacées pendant la grossesse : discussion à partir d’un cas clinique / Julie Legorjus-Pouliquen; sous la direction de Anne Gouriou |
| Publié : |
[Lieu de publication inconnu] :
[éditeur inconnu]
, 2015 |
| Description matérielle : | 1 vol. (20 f.) |
| Note de thèse : | Mémoire de DIU : Formation complémentaire en gynécologie-obstétrique pour le médecin généraliste : Nantes : 2015 |
| Sujets : |
| Résumé : | Sur une population estimée en France à 150 000 - 300 000 usagers d'héroïne, un tiers sont des femmes en âge de procréer. Bien que la tératogénicité des opiacés n'ait pas été prouvée, les phases de manque induites par l'héroïne ou les traitements de substitution aux opiacés (TSO) entraînent des risques de retards de croissance intra-utérin, de menaces d'accouchements prématurés voire de morts fœtales. Le nouveau né est exposé à un syndrome de sevrage quand sa mère a consommé des opiacés, mais ce syndrome est anticipé, surveillé de près et aisément maîtrisé. Afin de parer aux risques fœtaux et obstétricaux, et pour améliorer le parcours de soins des patientes, la mise en place d'un TSO doit être encouragée, associée à une prise en charge médico-psycho-sociale. Pour les femmes déjà sous TSO, elles-mêmes ou leurs médecins sont parfois demandeurs de baisser les doses, alors qu'il est fondamental de les substituer à juste dose pour ne pas encourir de risques pour l'enfant à naître |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 19-20 |