Contribution à l'étude des effets orthopédiques de la bielle de Martine et Tavernier selon l'analyse de Lavergne et Gasson.

Dans les classes 2 squelettiques et dentaires, les rétromandibulies représentent la grande majorité. En association avec la rétromandibulie, ces petits patients présentent un préjudice esthétique important autant que caractéristique avec une position rétruse du menton dans le profil facial. Ce signe...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Marie Christian (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Reims (Organisme de soutenance), Université de Reims Département odontologie (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Palot Christian (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet :  Contribution à l'étude des effets orthopédiques de la bielle de Martine et Tavernier selon l'analyse de Lavergne et Gasson. / Christian Marie; sous la direction de M. Christian Palot
Publié : 2001
Description matérielle : 1 vol. ( 92 f.)
Note de thèse : Mémoire de Certificat d'études cliniques spéciales mention orthodontie. : Orthopédie dento-faciale : Reims : 2001
Sujets :
Description
Résumé : Dans les classes 2 squelettiques et dentaires, les rétromandibulies représentent la grande majorité. En association avec la rétromandibulie, ces petits patients présentent un préjudice esthétique important autant que caractéristique avec une position rétruse du menton dans le profil facial. Ce signe est souvent le motif de la consultation. Parmi les appareils orthopédico-fonctionnels, les activateurs induisent une position de la mandibule différente de celle qu'elle occupe habituellement. La bielle de Martine et Tavernier est un activateur propulseur à butée alors que l'hyperpropulseur de Lautrou est un activateur monobloc rigide associé à une force extra-orale. L'étude des effets comparés de ces deux activateurs sur des échantillons de population orthodontique par l'analyse de Lavergne et Gasson démontre : qu'il existe un effet squelettique du traitement après le port de l'appareil de Tavernier et après le port de l'hyperpropulseur de Lautrou, et que l'effet squelettique constaté est à peu près équivalent dans les deux échantillons et pour deux appareillages.
Bibliographie : Bibliogr. f. 81-92