Etude des corrélations entre la morphologie symphysaire et l'activité musculaire labio-mentonnière mesurée par électromyographie.

Objectifs : l'observation d'une symphyse mandibulaire révèle des formes très variées et individualisées selon le patient. Forme, fonction et typologie sont intimement associées dans la littérature. Cette étude a pour but de tenter de déterminer des facteurs étiologiques ou des facteurs inf...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Tournemine Sylvain (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Université de Nantes Département odontologie (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Deniaud Joël (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet :  Etude des corrélations entre la morphologie symphysaire et l'activité musculaire labio-mentonnière mesurée par électromyographie. / Sylvain Tournemine; sous la direction de M. Joël Deniaud
Publié : [Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu] , 2011
Description matérielle : 1 vol. ( 79 f.)
Note de thèse : Mémoire de Certificat d'études cliniques spéciales mention orthodontie. : Orthopédie dento-faciale : Nantes : 2011
Sujets :
Description
Résumé : Objectifs : l'observation d'une symphyse mandibulaire révèle des formes très variées et individualisées selon le patient. Forme, fonction et typologie sont intimement associées dans la littérature. Cette étude a pour but de tenter de déterminer des facteurs étiologiques ou des facteurs influençant le développement de la paroi antérieure de la mandibule. Afin de limiter les examens complémentaires réalisés lors d'une thérapeutique orthodontique, une recherche de corrélations entre les différentes informations apportées est effectuée. Matériels et méthode : un échantillon de 46 patients (dont 27 filles et 19 garçons) âgés de 8 à 15 ans (moyenne 11.59) recrutés sur la nécessité de mettre en place un quad-hélix, a été étudié à partir de clichés téléradiographiques de profil, d'électromyographie et de rhinomanométrie. Des sous-groupes typologiques ont été déterminés. Des corrélations ont alors été recherchées entre les données. Résultats : des différences morphologiques ont été retrouvées entre les groupes. Si la rhinomanométrie a montré peu de différences entre les échantillons, l'électromyographie a permis de mieux les individualiser. Certaines données morphologiques rendent bien compte de la manière de fonctionner du patient. Conclusions : Il n'est pas possible de déterminer si les facteurs étudiés sont des causes ou des conséquencesn ni si la croissance trouve son origine dans une prédisposition génétique ou fonctionnelle. Mais des différences de fonctionnement et de développement ont pu être mises en évidence.
Bibliographie : Bibliogr. f. 66-69